
Leurs origines et leurs personnalités
Les Thals sont une race humanoïde vivant sur la planète Skaro. Autrefois civilisée, elle s’est engagée dans une guerre nucléaire avec les Kaleds. Cette guerre transforma la planète en désert aride. Après le conflit, les Thals rejetèrent toute forme de violence adoptant une philosophie pacifiste.
Les Thals sont pacifiques. Ils privilégient l’harmonie et la coopération. Ils gardent malgré tout leur passé militaire et font preuve d’un courage exemplaire quand ils sont en danger. Ils peuvent reprendre les armes. Ils sont loyaux et quand la situation l’exige, ils peuvent agir avec bravoure. Ils sont toujours blonds et grands.
Leurs aventures
On les voit pour la première fois dès le deuxième arc de la série, « The Daleks ». Dans cet épisode, ils sont les survivants d’une guerre nucléaire et apeuré par les Daleks. Ils suivront le Docteur dans la quête de leur liberté. Ils pénètrent dans le Cité Dalek et vainquent temporairement ceux-ci. Ensuite, on les revoit dans « Planet of the Daleks », dans cet épisode, les Daleks préparent une invasion galactique. Les Thals se battent et travaillent en secret pour arrêter ce plan d’invasion à grande échelle. Avec le Docteur, ils détruisent l’armée Daleks en provoquant l’effondrement de leur base.
Enfin, dans « Genesis of the Daleks », on découvre la genèse de leur guerre mortelle. Les Thals, bien qu’opposé à la violence, mènent une offensive militaire contre la Cité des Kaleds. Ils capturent Sarah Jane et des prisonniers et les font travailler sur un projet de fusée pour quitter leur dôme protecteur. Ils font une alliance temporaire avec Davros, pensant qu’il est de leur côté. Après avoir vu clair, ils se battent aux côtés du Docteur. Ils pensent avoir gagné à tort, ignorant que le cauchemar ne fait que commencer. Ils sont plusieurs fois mentionné sans apparaître à l’écran dans « Destiny of the Daleks ». Leur ancienne guerre est évoquée et reflète les conséquences de celle-ci
Source : TARDIS Wikia
Dernière mise à jour faite le 30 octobre 2025
Article écrit par Maxim Rixhon